A la veille du match capital contre les Etalons A’ du Burkina Faso, le sélectionneur des Eléphants locaux, Koffi N’Dri Romaric, donne les clés de cette rencontre pour la sélection ivoirienne. « Il faut jouer et non pas subir», recommande t-il.
Quel sera le discours face aux joueurs à Bamako ?
Le discours sera simple. Je leur dirai qu’on n’a rien fait encore et qu’on y est pour gagner. On y est pour essayer de marquer et de défendre les couleurs de la nation. Et je sais que si on arrive à marquer un but, on sera pus proche de la qualification. Donc il faut jouer et non pas subir.
Il y a l’environnement du match et il y a un autre facteur naturel qui est la chaleur qui bat actuellement son plein à Bamako. Pensez-vous à tout cela ?
Oui, bien sûr. On est arrivé ici mardi pour essayer de s’acclimater et d’essayer de bien gérer l’environnement. Je pense que c’est très important d’arriver tôt dans l’inconnu. On espère qu’on sera bon samedi.
Un mot sur Sylvain Gbohouo que vous avez choisi de titulariser dans les buts quand on sait toute son histoire avec les Eléphants de Côte d’Ivoire ?
J’assume de mettre un joueur sur le terrain parce que je me dis que c’est le meilleur en ce moment. Donc, je le félicite parce qu’il a montré au match aller qu’il était encore bon pour le service.